Plus d’un tiers des entreprises de sécurité privée sont basées en Île-de-France, ce qui représente plus de quatre salariés sur dix. Conséquence des attentats qui ont touché la France : la demande de sécurité privée augmente. Mais la coordination avec les forces de l’ordre n’est pas toujours simple.
Le SNES espère encore davantage ; le syndicat parle de « coproduction ». « Il faudrait un conseiller “sécurité privée” auprès du ministre de l’Intérieur. Et, sur le terrain, avoir des lignes directes pour informer gendarmes et policiers », réclame Olivier Duran.
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